Friday 10 August 2012

243

Il s'est tourné à la barrière
Et l'herbe était pliée à son
Côté et il s'est levé dans
L'air et il a poinçonné avec
Ses pieds avant et le métal
De les fers à cheval était
Comme si perforé en lumière
Sur une feuille cintrée de métal
Et les formes ont flotté dans
L'air et ont monté sur l'air
Deux formes en fer  : Ω Ω
J'était à ce côté de la clôture
Et il a pivoté contra elle et il a
Retombé comme une vague,
Ses flancs roulant au-dessus
Eux-mêmes et montrant de
Longues cordes et son cou
Tordu en arrière sur lui-même,
Et je pouvais voir sang qui le
Traverse, mouvant avec les
Pieds arrière et les palefreniers
Ont couru vers nous à partir du
Pâturage et j'ai vu sang qui le
Traverse et la jument a été
Criant au loin, et il pendait là,
Et il y a du sang palpitant, et j'ai
Tenu fermement sur ma robe.

242

La pluie dans les arbres
Et les branches déplaçant
Et je l'ai dit nous devrions
Cacher et poussé à travers
Et à l'intérieur, le vent s'est
Arrêté et je pouvais voir
Gris ses vêtements mouillés
Dans le lumière cassée et
J'ai touché son épaule et
Le peau a montré et
Elle a dit ne pas donc je
N'ai pas donc elle est entrée
Et l'eau luisait sur lui et une
Branche a sauté et la pluie
Qu'elle détenait a éclaté sur
Nous et nous avons été
Sursauter par le froid et elle
A crié et s'accrochait à moi,
Et après je sentais encore
Sa bras brûlant sur ma cou
Comme une marque chauffé
À blanc, et sa coffre et son
Visage sur moi et la pluie
Coulait de les arbres et son
Cœur battant dur et elle
A dit ne pas, ne pas, ne pas.

241

La grange est calme et l'air
Est pleine de poussière d'or
Tombant, et flocons de paille,
Et insectes flottants sur l'air,
Comme astérisques brillants,
Tous pris dans les faisceaux
Étroits qui projettant entre
Planches une pleine et miellé
Lumière.
               L'âne lève sa tête
Gris dans la portée de celui-ci
Et un halo est formé qui attrape
Sa tête et oreilles hirsutes,
Et il souffle les moustiques de
Sa peau avec un exhalaison
Qui semble prendre feu pour
Un instant. Les motes dispersent
Hors de vue, évasant à des
Intervalles comme ils passent
Dans le foin sombre. Sa souffle
Est en lambeaux, et il aussi,
Et il porte ses ossements
En arrière dans sa paille. Lèvres
Se retirent de dents brillantes,
La couleur de maïs detrempé.

Thursday 9 August 2012

240

La lampe était immanent
Dans la chambre et tout
La pièce participait de celui-ci.
Il est se pencher sur le lit
Et tirait la couverture
Par-dessus le petit garçon,
Et a lui aplanit avec sa main,
Et retirait les cheveux de
Sa visage et la lampe
Était immanent aussi dans
Les deux dioramas sombres
De la chambre, projetée dans
Les yeux d'enfant. Une lumière
Fondateur hors de tel distance.

Il a attiré le garçon à lui
Et il a dis à lui :
Je peux t'aime parce que
J'aime moi-même, fils.

239

Les colombes font un cercle
Partir de le couronne de l'arbre,
À l'antenne, à la cheminée.

Leurs queues sont
Comme coquilles de pétoncle,
Blanc crème, comme ils montent.

Cols noirs encerclent
Leurs gorges de lait
Ils appellent, assis tristement et

Sottement, entourée d'air
Tremblant, rose et gris,
Et ils montent une fois de plus.

Le soir leur couleur
Est d'abord celle de cervelle
Et plus tard ce de sang,

Et l'air est lacée de fumée.

238

Dieu est bon
C'est une belle nuit
Les fleurs courbées se
Baigner dans leur lueur

Perdu Jack est dormant
Dans le creux sous les
Arbres. Son esprit un petit
Feu, une fleur, Dieu est bon

Dans les petites heurs
Il y a étincelles dans les
Ronces. Une floraison douce
Tombe sur sa sommeil

Et le rêve est loin
Et la brosse est légère
Dieu est bon
C'est une belle nuit

237

Et quoi de toutes nos œuvres?
Dit-il doucement dans l'obscurité.
L'ombre a brisé, et foudre est venu,
Sautant par-dessus lui-même, et
Dans la lumière l'obscurité a parlé.
Mais ce n'était pas du tout un langue.
Si c'était même vraiment une voix,
C'était malfaisant et insensé,
Et il a regrimpé vers le bas
Du vallée sacré. Il a chanté son
Enfant à dormir, et il a retourné
A ses œuvres. Tonnerre a sonné.

Wednesday 8 August 2012

236

Nous s'allonger, regardant
Tandis les formes passent
Par les chevrons peints
De notre petit univers,
La lampe derriere nous,
Nos yeux dans l'ombre.
Tandis le tungstène chante,
Les formes défilent
En mouvement diurne
Contre le terre tournant.
Dans l'ouest, mourant,
Dans l'est, en train de naître,
Ces icônes de la vie
Évoquent notre soleil.
Au-dedans l'ampoule du
Lampe, tout est un.
La vie est pas une ombre,
C'est une lumiere fugitive.